Corps enseignant

Influence en recherche : plusieurs membres du corps professoral se distinguent

9 octobre 2025

Plus de 20 membres de la communauté de HEC Montréal s’illustrent dans un classement qui considère l’influence internationale de scientifiques dans tous les domaines.

Le palmarès a été constitué par une équipe de recherche de l’Université de Stanford et de l’éditeur néerlandais Elsevier.

Il se divise en deux listes : l’une tient compte des citations et indices d’incidence pour l’année 2024 et l’autre, pour les 25 dernières années.

Les membres du corps professoral de HEC Montréal (en poste actuellement) qui apparaissent cette année sont :

 

Basé sur les citations et indices pour l’année 2024Basé sur les citations et indices pour les 25 dernières années
Jean-François CordeauJean-François Cordeau
David DoloreuxDavid Doloreux
Yany GrégoireDanny Miller
Isabelle Le Breton-MillerGuy Paré
Danny MillerSuzanne Rivard
Carolina OsorioSylvain Sénécal
Linda RouleauJian Tang
Sylvain SénécalStephan Vachon
Jian TangChristian Vandenberghe
Ekaterina TurkinaGregory Vial
Stephan VachonGeorge Zaccour
Christian Vandenberghe 
Gregory Vial 

 

À ce groupe s’ajoutent aussi les professeurs Pierre Hansen, décédé en 2025, et Jean-Charles Chebat, décédé en 2019.

Alain Haurie, professeur affilié, apparaît aussi dans ce classement.

Figurent également plusieurs membres du corps professoral maintenant à la retraite : 

  • Henri Barki
  • Alain D’Astous
  • Ann Langley
  • Gilbert Laporte

Soulignons que ce dernier, ainsi que le chercheur titulaire Danny Miller se retrouvent dans le top 10 mondial de leurs domaines respectifs (recherche opérationnelle et management).

 

Méthodologie du classement

L’échantillon de base utilisé pour ce classement était constitué de plus de 8 millions d’autrices et d’auteurs à travers le monde, dans 22 disciplines et 174 sous-secteurs, et provenant autant du milieu universitaire que de la sphère privée. Le palmarès comme tel a retenu un peu plus de 230 000 scientifiques qui ainsi figurent parmi les 2 % avec le plus d’influence dans leurs domaines de recherche.

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